Roman
Plubishroom - Janvier 2018 -
Présentation de l'éditeur : À la sortie d'un cimetière, une vieille femme meurt dans les bras de Rose et lui confie son carnet... « Elle me pointe un petit carnet qui gît le long du caniveau et murmure :
- Dites-leur pour moi que je les aime. Je demande :- À qui ? Elle convulse.
Je pleure.- À qui ? Elle est partie. La femme qui sortait du cimetière est venue mourir dans mes bras... Je souffle « Je le leur dirai » comme une promesse indestructible. Rose ne sait pas que cette promesse va bouleverser son existence. Au fil des pages de ce carnet, elle remettra en question sa solitude. Elle ira chercher ses réponses, contestera les lois familiales qui érigent le silence sur sa mère disparue il y a vingt ans. Elle apprendra combien la vie peut être belle et l'amour un nouveau départ. Mais, quand l'adversité s'entête, la peur reprend parfois ses droits et la mort ses prérogatives.
Rose trouvera-t-elle sa vérité ? Osera-t-elle enfin le bonheur ?
Une émouvante intrigue familiale...
Mon avis :
J’ai vraiment adoré ce livre dans son ensemble, toutefois avec une légère déception quant à la fin.
Rose part de chez elle, quittant son père médecin et sa sœur Anna, perturbée, éteinte, angoissée et perdue dans ses pensées et questionnements, elle croise le chemin de Victoire qui est victime d’un accident sous ses yeux.
Victoire avant de décéder dans les bras de Rose pointe du doigt un calepin qu’elle a laissé échappé sur le sol pendant l’accident en disant "dites leur que je les aime".
À la lecture de ce calepin, se mêlent alors des parcours de vies parallèles et le parcours de Victoire aide Rose à se sortir de sa peine, de ses questionnements et de ses angoisses, et apporte des réponses par leur similitude.
Des termes exacts, bien pesés, profonds, lourds de vérité, percutants et qui interpellent. Rose apprivoise à nouveau la vie, une vie meurtrie par des non dits, un sentiment de culpabilité, la peur d’aimer un manque évident d’amour, mais elle ne veut pas aimer elle a peur de perdre cet amour ..
Ce livre soulève beaucoup d’émotions de frissons à sa lecture. Il célèbre aussi la vie, la quête de l’amour et aussi sa recherche à tout prix .
Malheureusement, et sans vouloir faire de jeu de mots la fin est un peu à l’eau de rose, elle n’est pas aussi riche que l’ensemble du livre, presque prévisible, le style est un peu en décalage avec la gravité de la situation décrite initialement et à son style accrocheur..
Le livre est vraiment bon, l’histoire est bien pensée, j’en garderai un excellent moment de lecture que je vous conseille, et je suivrais avec intérêts ses futures publications dont la qualité ne peut être qu'ascendante.
Je remercie l'auteur pour m'avoir offert cette lecture remplie de beaucoup d'émotions, et je tiens aussi à remercier vivement Katty R pour son amitié et ses conseils avisés.
J’ai vraiment adoré ce livre dans son ensemble, toutefois avec une légère déception quant à la fin.
Rose part de chez elle, quittant son père médecin et sa sœur Anna, perturbée, éteinte, angoissée et perdue dans ses pensées et questionnements, elle croise le chemin de Victoire qui est victime d’un accident sous ses yeux.
Victoire avant de décéder dans les bras de Rose pointe du doigt un calepin qu’elle a laissé échappé sur le sol pendant l’accident en disant "dites leur que je les aime".
À la lecture de ce calepin, se mêlent alors des parcours de vies parallèles et le parcours de Victoire aide Rose à se sortir de sa peine, de ses questionnements et de ses angoisses, et apporte des réponses par leur similitude.
"Laissez-vous donc contaminer, la maladie d’amour vous guette, vous en rêvez depuis longtemps, inutile de fuir, lancez-vous !"
Des termes exacts, bien pesés, profonds, lourds de vérité, percutants et qui interpellent. Rose apprivoise à nouveau la vie, une vie meurtrie par des non dits, un sentiment de culpabilité, la peur d’aimer un manque évident d’amour, mais elle ne veut pas aimer elle a peur de perdre cet amour ..
Ce livre soulève beaucoup d’émotions de frissons à sa lecture. Il célèbre aussi la vie, la quête de l’amour et aussi sa recherche à tout prix .
Malheureusement, et sans vouloir faire de jeu de mots la fin est un peu à l’eau de rose, elle n’est pas aussi riche que l’ensemble du livre, presque prévisible, le style est un peu en décalage avec la gravité de la situation décrite initialement et à son style accrocheur..
Le livre est vraiment bon, l’histoire est bien pensée, j’en garderai un excellent moment de lecture que je vous conseille, et je suivrais avec intérêts ses futures publications dont la qualité ne peut être qu'ascendante.
Je remercie l'auteur pour m'avoir offert cette lecture remplie de beaucoup d'émotions, et je tiens aussi à remercier vivement Katty R pour son amitié et ses conseils avisés.
L'auteur : Cette parisienne d’origine, s’installe dans le Sud il y a dix ans. Elle quitte le milieu de la restauration pour vivre enfin de son art : l’écriture. Laurence est rédactrice/journaliste pour le magazine Turquoise. Elle a également collaboré au rédactionnel du groupe hôtelier Paris Rive Gauche. Laurence Martin écrit ses premiers poèmes à 8 ans. L’écriture a toujours fait partie de sa vie. Comme un besoin, une évidence, cette passion jalonne son parcours. A la trentaine, c’est avec des textes de chanson qu’elle poursuit l’écriture, puis les nouvelles et romans s’imposent quelques années plus tard, de même que les scenarios auxquels elle se forme à l’ESRA de Nice. 
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire